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lundi 30 décembre 2013

Anachronismes.

Théoriquement, dans deux jours, nous seront en 2014.

Cependant nous vivons dans une société friande d’anachronismes en tout genre qui nous font perdre la notion de temps et d’époque. Après s’être approprié la maîtrise de l’espace, l’homme s’attaquerait-il à la maîtrise du temps ?


Tout d’abord, métaphysiquement et techniquement, maîtriser le temps nous est encore impossible (encore heureux, sinon on en deviendrait tous fous !). Pourtant, certains génies issus du monde artistique ou scientifique ont le talent de bousculer nos certitudes sur l’époque dans laquelle nous vivons. Ne le nions pas, depuis 2012, il y a comme une petite odeur de sixties dans les rues du monde entier !

Nous avons assisté à deux grands phénomènes antagonistes durant 2013 : la progression incroyable des nanotechnologies avec la montée en flèche des nouveaux modèles de smartphones, de montres gadgets, des tablettes qu’on glisse entre les mains d’enfants innocents, et une envie incontrôlable de retour dans le passé, notamment par le design de ces produits hautement performants ainsi qu’une brise nostalgique soufflant sur les tissus des défilés…

Bref, on irait même jusqu’à se demander dans quelle sens tourne la planète ! Finalement, lorsqu’on demande aux gens de définir l’époque dans laquelle ils vivent, on a souvent le droit à un « euuuuuuh… ».
Si on y réfléchit bien, nous sommes dans le hors-temps.
Je m’explique. Les designers, réalisateurs de cinéma, auteurs de science-fiction des années 60-70 imaginaient l’ultime futur avec l’avènement du tant attendu « an 2000 ». Pour eux, le futur que les hommes de leur époque étaient en mesure de concevoir conceptuellement allait rarement au-dessus de cette date fatidique. Puis, il y a eu le grand mythe de la fin du monde en 2012, prédit par le calendrier Maya. Je devine que si vous êtes en train de lire cet article, c’est que vous avez tout comme moi survécu à cette terrible apocalypse. Pourtant, le passage à l’an 2014 est imminent et ce dernier semble bien dépasser l’imaginaire humain. C’est vrai, mis à part avoir des voitures volantes (et je trouve qu’en tant qu’automobilistes responsables, on laisse tomber cette idée), qu’es-ce qui pourrait révolutionner encore plus notre quotidien…. Mis à part retourner dans le passé ?

C’est à cause de cette époque incertaine et substantiellement indéfinie que nous nous retrouvons dans un « hors-temps » déboussolant. Entre accessoires futuristes (ou devrais-je dire contemporains) et tendances résolument rétro et vintage dans les biens de consommation ou le mode vie, dans quel sens de la courbe temporelle évoluons-nous ?


Les marques d’accessoires ont bien saisi cette problématique et on assiste à de multiples rééditions des modèles cultes des grandes maisons de mode. En mars 2014, c’est la marque de lunettes de soleil Silhouette qui ose la réédition des modèles futuristes cultes, Futura. Oui, réédition d’un modèle des années 70, qui dans le référentiel temporel est censé symboliser le futur, c’est-à-dire notre époque, et donc aujourd’hui, enfin dans un futur proche, on va pouvoir disposer de lunettes rétro. 


Tout cela me donne le tournis, es-ce bien raisonnable ? 


XX Amelie 

samedi 28 décembre 2013

Yuman, un restaurant bio et détox après les fêtes

Après avoir passé deux (ou trois) jours à vous goinfrer de mets délicieux et raffinés, pourquoi ne pas en revenir à ce qui est sain et simple, sans pour autant perdre le raffinement et la hauteur des saveurs ?

Le restaurant Yuman a ouvert ses portes en Novembre dernier en plein cœur de Paris Rive Gauche, près de la bibliothèque François Mitterrand. On vous y sert des petits plats cuisinés sur place, avec des produits bio et de saison, le tout dans une ambiance conviviale et apaisante !



Un restaurant bio avec des recettes succulantes !

On se dit souvent que le BIO rime avec graines, salades, racines, et simplicité des plats. Gilles Tessier, le fondateur de Yuman, bouscule ces idées reçues et formule des recettes inspirées de la chef autodidacte, Amada Geers.


Le résultat : des plats frais, élaborés avec des produits cueillis le jour même, avec en secret de fabrication, tout un mélange d’épices et de condiments qui font de chaque bouchée une explosion de saveurs et de surprises gustatives !

La critique : Dé-li-cieux, avec une mention spéciale pour le Risotto aux champignons et le velouté de potiron qui ont éveillé mon palais tout au long de la dégustation ! On en ressort rassasié sans se sentir lourd, voir léger au contraire, avec l’impression de s’être fait du bien !

Le plus : un rapport qualité-prix imbattable ! (environ 10 euros pour un repas le midi)  

Un nouveau concept de restauration, pour un regard tourné vers l’avenir


Sur l’enseigne, on peut lire « Yuman, Restaurant éclairé ». Un sigle un peu étrange au premier abord. Cependant, en discutant avec Gilles Tessier, le nom de l’établissement, les plats, l’architecture, tout prit une signification particulière. En réalité, rien n’est laissé au hasard. L’architecture, œuvre de l’agence Curius et de Michel Malapert est constituée exclusivement de matériaux de récupération. Les tables, les étagères, les bancs sont des pièces uniques, spécialement adaptées à la configuration du lieu. Les murs en ciment brut, orné d’étagères et de tables en bois laissent entendre une implantation progressive de la nature en milieu urbain.


Droit au cœur en passant par l’estomac : c’est le chemin que va faire le message de sensibilisation initié par ce nouveau concept de restauration. Le nom « Yuman » puise ses origines dans l’émergence de la génération Y en tant que responsables du monde de demain. Bien sûr, le mot fait écho à l’humanité et au rôle que chacun joue dans le monde et dans la communauté des hommes. Le slogan « restaurant éclairé » se réfère à l’esprit éclairé, à une consommation plus responsable, respectueuse des hommes et de la nature. Ainsi, c’est un message puissant qui traverse les générations et les frontières, qu’on transmet par ce que tous les humains apprécient : un bon repas ! 

vendredi 27 décembre 2013

Tae Ashida x François Najar : osez mélanger le style français avec l’excentrisme japonais !

Oser. Tel est le maître mot de la mode aujourd’hui. Ce qui fait l’essence du style, c’est apprendre à oser. Etre excentrique et mélanger tel un chef étoilé des textures, des goûts et des styles improbables sont les clés du bon style et de la maîtrise de l’environnement de la mode.

Pour cette fin d’année, je vous propose donc de mêler deux designers pour une allure de femme fatale irréprochable ! Marions les créations de François Najar, designer de chaussures français et de  Tae Ashida, une créatrice japonaise très prometteuse !

François Najar




Spécialiste français du soulier de luxe, François Najar, acquiert une expertise des plus pointues au cœur de la prestigieuse maison Charles Jourdan qu'il intègre durant dix années à la direction des ventes internationales. Animé par la volonté de développer un concept et un style unique  tout en perpétuant les valeurs fondamentales du métier de chausseur et la rigueur exigée par les traditions de fabrication artisanale, il lance en 2009 sa marque de chaussures au nom éponyme. Passionné par l'escarpin Louis XV, il crée en collaboration avec des stylistes émérites une collection chic, citadine et intemporelle conçue en vue d'offrir à la gente féminine un accessoire de distinction au plus près de leur réalité, tout en privilégiant un chaussant d'exception.

Retrouvez l’ensemble de sa collection sur : www.francoisnajar.com

Tae Ashida

Jeune designer japonaise qui était en charge de la ligne Miss Ashida, issu de la maison mère de prêt-à-porter Jun Ashida. Tae innove, étonne et fascine la mode de son pays mais son talent s’étend aussi à l’occident. Son style est très raffiné, avec ce qu’il faut d’excentricité et d’originalité pour convenir à la vie de tous les jours tout comme aux soirées habillées. Réputée pour la qualité de ses modèles, Tae oriente sa création autour du souci architectural de ses coupes.




Retrouvez tout l’univers de la marque sur : www.jun-ashida.co.jp

XX Amelie

jeudi 26 décembre 2013

La vidéo inédite par Sismeek !

Sismeek est une toute jeune marque de montres qui se spécialise dans les séries limitées en partenariat avec des designers. Actuellement, quatre série limitée et numérotées ont été mises en place ! 

A cette occasion, la maison sort une vidéo qui récapitule ces collaborations, dans l'attente de voir ce que l'année qui arrive nous réserve... 


XX Amelie 

mardi 24 décembre 2013

Best Wishes for 2014!

Fromparisathome, ainsi que tous ceux qui ont collaboré à l'amélioration de ce site et de son contenu, vous souhaitent de très belles fêtes de fin d'année et vous présentent leur meilleurs vœux pour 2014 ! 

Rendez-vous l'année prochaine pour encore plus de mode, d'astuces beauté, de lifestyle, de lieux décalés et originaux, bref tout ce que la vie parisienne peut nous réserver ! 





XX Amelie 

lundi 23 décembre 2013

Où se faire coiffer avant les fêtes?

Les fêtes de fin d’année riment souvent avec préparatifs, course aux cadeaux, casse-tête culinaire etc… mais où est passé le temps pour soi, pour notre bien-être ? Même si Noël est la fête altruiste par excellence, je vous propose cette année de n’en faire qu’à votre tête et de prendre une pause régénérante chez Elie l’Enzo, le coiffeur qui va faire revivre votre crinière ! Que vous soyez une habituée des salons de coiffure ou comme moi, une barbierophobe (qui a peur de se faire couper les cheveux par un coiffeur), ce salon très convivial est idéal pour prendre la pause si bien méritée en ce mois de Décembre.


Abandonnez-vous aux mains expertes des coiffeurs visagistes qui sauront mieux que personne quels soins, coupes ou couleurs conviendront le mieux à vos cheveux, tout en tenant compte de votre style, votre teint et de la forme de votre visage.



Mon expérience personnelle 

Moi, Amélie, 19 ans, barbierophobe. Oui, ça sonne comme un témoignage de l’émission « Tellement Vrai », mais c’est presque ça, malheureusement. Cela faisait bien 4 années que je n’avais pas mis les pieds chez un coiffeur suite à une mauvaise expérience lorsque j’avais 15 ans. Bien entendu, ce n’est pas parce que je n’allais pas chez le coiffeur que j’avais totalement laissé mes cheveux livrés à eux-mêmes ! Non, je faisais tout toute seule, la coupe, le brushing, et parfois quelques soins après shampoing, mais je ne suis vraiment pas fan de ces choses là. Lorsqu’on m’a proposé de me rendre au salon Elie l’Enzo, j’y allais avec une boule au ventre… Une fois arrivée là bas, c’est Agnès qui prit en charge les directives concernant ma crinière. J’ai donc eu le droit à une séance de soin restructurant et re-pigmentant qui rendent les cheveux doux et brillants, puis une petite optimisation de ma coupe actuelle avec un œil expert et des outils de pro et enfin, un brushing digne d’une actrice américaine !

Voilà le résultat !


Un énorme merci à toute l’équipe d’Elie l’Enzo, pour leur gentillesse et surtout pour m’avoir permis de redécouvrir le potentiel de mes cheveux et d’avoir vaincu ma peur des coiffeurs !


Elie l’Enzo
10, rue Alboni
75 016 Paris

Tél : 01 45 20 35 38
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XX Amelie 

samedi 21 décembre 2013

Collaboration Cavalier Bleu x Poes

Afin de renforce leur image de dandy chic avec une pointe de folie, la marque de prêt-à-porter masculine Cavalier Bleu lance une collaboration avec le graffeur Poes. 

Le résultat : un pull en cachemire tout doux pour une édition limitée inspirée de l'oeuvre de Poes

Les œuvres de Poes ainsi que les pulls sont disponibles à la galerie Wallworks Paris
4, rue Martel
75010 Paris 
Ouvert du lundi au samedi de 14h à 19h





Pull en cachemire Cavalier Bleu x Poes, 130 €
Tous les articles sont en vente sur l'eshop










Un grand merci à toute l'équipe de Cavalier Bleu pour la réalisation du shooting

Mannequin : Thibault Panier
Photographe : Amélie Glab

XX Amelie