Charles De Langhe, le joaillier amoureux des pierres

C’est en partant du constat simple que la langue française possède un mot spécifique pour distinguer la « joaillerie » de la « bijouterie » que Charles De Langhe puise toute l’essence de son travail.

Les français, ambassadeurs du luxe, sont soucieux du savoir-faire et de la qualité des produits qu’ils proposent.

Après avoir étudié à l’école de gemmologie « Standard of Diamond » et travaillé plus de quatre années dans la restauration d’objets anciens ainsi que l’élaboration de trophées sportifs, Charles De Langhe décide de s’installer à Paris et d’ouvrir son premier atelier.

Son travail de qualité et son savoir-faire contrôlé permettent d’asseoir l’exceptionnalisme de la joaillerie française.

Charles De Langhe, joaillier créateur 

De Langhe insiste cependant sur un problème persistant dans la monde de la joaillerie en général : à qui revient le mérite pour le produit fini : au designer ou à l’artisan-fabricant ?

De plus, on a assiste à un décalage entre les idées des créateurs et leurs possibilités de réalisation par les artisants joailliers. Charles De Langhe cherche à se détacher de cette problématique et décide de prendre en charge, en personne, toute la ligne de fabrication de sa collection, de la naissance du modèle sur papier à la réalisation dans son atelier parisien.

Pourtant, autre chose obsède notre talentueux joaillier : la recherche de la pierre d’exception, une pierre qui aurait quelque chose à dire. Il possède alors une magnifique collection de pierres précieuses qui attendent patiemment leur tour pour être montées en bague ou parure.

Son travail de créateur est axé sur l’habillage d’une pierre principale qui se doit d’avoir un caractère fort et unique. Cela donne lieu à trois bagues, très classiques, intemporelles et élégantes.

Il lance aussi des chevalières pour hommes, inspirées des mimiques du théâtre classique.

Retrouvez toute la collection sur www.charlesdelanghe.fr

Le saviez-vous ?

Les outils de fabrication de la joaillerie ont très peu évolués au cours des siècles. Les outillages restent les mêmes pour conserver la qualité de fabrication d’un bijou unique. Sa délicatesse ne peut aboutir à une fabrication sophistiquée et mécanisée. C’est entre autre ce qui rend cette branche à mi-chemin entre l’art et la mode, tellement précieuse !

XX Amelie