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lundi 26 septembre 2016

Biner, collectif parisien, fait son opening en invitant Objekt et Ekman

Une dualité inhérente, parfois inconsciente semble régir le monde. Interminable répétition temporelle entre nuit et jour, continuel balancement de mouvements mécaniques et lignes infinies de 0 et de 1 dominent le commun des mortels.
Au sein de chacun, un dialogue entre l'être et le non-être, entre l'acte et son refoulement, assure l'équilibre de la vie.
Sans tomber dans le manichéisme, Biner se veut un collectif en base 2. 

Opening 1.1


Pour fêter leur lancement, le collectif organise une soirée scindée en deux parties (club + after), avec une seconde scène inédite au Batofar, située dans le Wagon (le restaurant du club). 

Coté artistes : 
En club, laissez vous embarquer pour un voyage non balisé imaginé par l'allemand Objekt. Il sera accompagné de Ratha Lao et de Mind Altering Process, résidents Biner. 

En after, c'est Ekman du label berçeuse héroïque qui piratera le système son du Batofar aux côtés de Céline, Ramce et Innerdusk

La scène alternative proposera une programmation eccléctique de 1h à 7h, avec Jan Melnick, fondateur de La Fête Triste, Paris Acid Boys et Drumn

De plus, le dialogue entre le musical et le visuel est très important aux yeux du collectif, et il parait nécessaire que ceux-ci s'embrassent pour ne former qu'un tout.
En informatique, le 1 représente l'expression d'un caractère et le 0, sa non-expression. L'équilibre d'un objet biner est assuré par la complémentarité de cette idée d'existence et son contraire. Ainsi la scénographie (comprenant des installations, du vjing, du mapping) sera le mode d'expression sensible que la musique à elle seule ne peut prendre en charge à part entière. Et inversement.

P S : quelques préventes early bird à 8 euros pour les 12h sont encore disponibles ! 

Pour vous mettre en jambes, Biner lance une chaine Youtube afin de partager les inspirations de chaque artiste invité, un avant goût digital de l'opening. 
Paris Acid Boys écrit la première ligne d'un code de découverte musicale et visuelle à l'image du collectif. 

  


XX Amelie 

lundi 4 juillet 2016

RA+RE, marque de mode et label techno féminin

RA+RE est une marque qui mêle brillement mode et musique sur des rythmes techno doux et recherchés. Tout d'abord uniquement label de vinyle imaginé par 3 jeunes femmes passionnées, Clara, Claire et Jessie, RA+RE se lance dans l'aventure mode en 2015 et remporte le concours Fashion Baby Brand, lui permettant de développer encore plus ce beau projet.

Côté musique : Consciente que le milieu de la musique électronique, et notamment de la techno, reste majoritairement masculin, les trois amies, toutes djettes décident de consacrer leur label à la découverte et la promotion des artistes féminines présentes sur cette scène. Le résultat est une musique aux rythmes recherchés, planante, envoutante, groovy, bref avec une patte unique et reconnaissable !



Côté mode : même credo! Il s'agit de proposer au public féminin des tenues qui reprennent un style particulier, tout en restant sexy mais surtout pas provoc! Les collections sont pensées pour des soirées, des festivals, incluant le coté pratique et confortable ! Pour chacune des collections, la créatrice s'inspire d'une ville dite "Underground". Paris était le point de départ de la première collection en 2015 ; pour cet été, direction Ibiza avec des robes légères et des imprimés colorés !

Rencontre avec Clara Rohmer, l'une des fondatrices de RA+RE

Clara, quel est ton parcours, ta fonction dans le projet?

J'ai étudié la com, le marketing spécialisation luxe, j'ai bossé chez LVMH, à New York chez Stuart Weitzman. Lorsque j'étais à NY, j'ai voulu arrêter un peu la mode, c'était toujours pareil et les gens n'étaient pas toujours intéressants. Comme je sortais déjà beaucoup,  j'ai rencontré des mecs dans la musique, qui étaient dans un label américain Sheik'n'Beik. A l'époque, ils faisaient des soirées à dans des warehouse, à Brooklyn, des trucs hyper underground avec des gens un peu bizarres voila (rires). Et donc on organisait des fêtes tous les weekends et j'ai bossé avec eux presque 2 ans, on a monté le label, c'est devenu une grosse boite maintenant. Etant donné que je n'ai pas eu mon renouvellement de visa, je suis rentrée à Paris et j'ai choisi de bosser dans la musique. J'avais rencontré Claireet Jessie à NY qui sont mes deux associées RA+RE, et on s'est lancés dans l'aventure musicale et mode.
   



         
Donc moi je suis la fondatrice principale et je m'occupe surtout du côté développement et business. Claire est plus dans l'organisation des events à Paris et Jesse qui habite toujours à NY, s'occupe de la conception des vêtements et du design, bref un peu la DA de la marque.























Quel est votre plus beau souvenir au cours de cette aventure?
Déjà le fait de gagner le concours Fashion Baby Brand, c'est un beau tremplin! On voulait lancer la marque de vêtements trois mois auparavant et c'était hyper encourageant, j'étais aux anges, c'est incroyable, ca a marché! Et pour la partie musique, on a une résidente à Berlin au club der Visionaere, on y avait fait un événement qui reste un de mes plus beaux souvenirs musicaux !

Et la plus grosse déception?

Y a pas vraiment eu jusqu'à présent, aucun truc horrible. C'est souvent des problèmes de délais avec les fabricants de tissus, ou quand on arrivait pas à trouver d'investisseurs pour les lancements. Ce ne sont pas des catastrophes absolument horrible, mais ça fait partie du jeu!

La "Techno" est un mot employé à tout va en ce moment, c'est quoi toi, ta vision de la techno à Paris?

Je pense qu'en ce moment c'est la grosse explosion, j'ai l'impression que ca va un peu dans tous les sens et que c'est bien parce que ca élargit les communautés. C'est en quelque sorte le rock'n'roll moderne, qui permet aux gens de se lâcher et de se sentir libre. Après à paris, les gens ne sont pas forcément éduqués à cette musique, à la manière de la consommer, à la manière de faire la fête, mais je pense qu'il y a  une super scène, de supers producteurs, notamment Concrète qui met en valeur les DJ parisiens.

Pour sortir, quels sont tes lieux préférés :

Pour le shopping : Franchement je n'en fais pas trop, je m'habille beaucoup dans ma marque, sinon en friperie, j'en fais pas mal quand je vais à Berlin. J'aime bien les boutiques Pop up, on y découvre souvent des créateurs intéressants.
Pour manger le soir : Chez Marcel 18e, mais c'est surtout pour déjeuner, je prends toujours le saumon au miso.
J'adore la nourriture japonaise, et je vais chez Guiloo Guiloo, le soir. La configuration est en carré et le cuisinier au centre prépare le menu qu'on ne choisi pas. Ce qui est marrant c'est que les japonais écoutent de la musique techno pendant qu'ils mangent, donc je recommande!
Pour prendre un verre : L'UDO c'est le bar d'un pote, on peut y mixer, leur sélection musique est assez cool, bonne enfant, l'ambiance n'est jamais décevante.
Pour aller en boite : je suis pas très club, j'adore le café barge qui a un coté pas club justement. Bon et puis il y la Concrète qui reste un temple de la musique électronique, notamment le Woodfloor, dont la programmation est vraiment bien.
Pour aller en after? Café barge, breakfast club, Playground collectif.

Retrouvez les collections prêt-à-porter RA+RE en ligne sur ra-re.fr
Les vinyles du label sont disponibles en ligne ou dans la boutique Techno Import. Découvrez leur univers musical sur soundcloud.

Prochain événement du label le 17 juillet au Café Barge !
Evenement Facebook

XX Amélie 


mardi 7 avril 2015

New Tales from Electro #004 - Opening La Foule Electronique ce jeudi !

La foule Électronique c'est la réunion
des Techno lovers anonymes,
piliers de bars,
philosophes refoulés,
artistes en tout genre
et détraqués noctambules à la recherche de nouveaux concepts !


Si quelques années auparavant les filles de joie satisfaisaient les pulsions et les envies de leurs clients, aujourd'hui c'est toute une foule qui ondule sensuellement au rythme des sonorités électroniques des Djs invités.
Plus qu'une simple pulsion, c'est une passion épicurienne qui anime les organisateurs, artistes et invités s'adonnant à cette nouvelle forme d'hédonisme hebdomadaire, désormais appelé
la Foule Electronique. 

Si les soirées techno ont tendance à se ressembler du fait de leur démocratisation grandissante, l'idée de La Foule Électronique est de travailler main dans la main avec des collectifs prometteurs, proposant un véritable concept de la fête techno/house, alliant innovation musicale, scénographie, éléments lifestyle, le tout dans une idée d'échange et de partage! 

Une rencontre : entre les jeunes talents désireux de trouver un espace d'expression pour concrétiser leurs projets, et entre les fêtards invétérés, les romantiques, les curieux à la recherche de nouveautés et de surprises.
Venez vivre ce coup de foudre dans un décor chic, calfeutré et sans complexe !
L'idée :
Un mélange de styles et d'univers pour faire voyager vos sens entre exaltation de l'ouïe et du regard dans un lieu à l'essence profondément sensuelle.

Chaque semaine, les collectifs invités présentent leurs conceptions de la fête.
Ils proposeront une vitrine de leurs artistes membres, mais également des ateliers art de vivre (dégustation, customisation, tatoo…).
La Foule Électronique souhaite également s'associer avec de jeunes marques françaises proposant des produits originaux afin de prouver une fois de plus que l'innovation et le fun ne sont pas morts!

La Foule Électronique c'est surtout une communauté.
Le cadre cosy et tamisé invite au rapprochement, à l'euphorie commune. La capacité étant limitée à 150 personnes, ces Boiler Rooms privés se partageront sur le groupe La Foule Électronique où chacun des membres est invité à publier ses vidéos, photos, mots d'amour ou doléances.
Au-delà d'immortaliser nos événements sur la toile, nous souhaitons que la communauté soit collaborative et puisse être un lieu d'échanges et de découvertes musicales et artistiques, qui ne manquera pas d'inspirer la programmation à venir, pour que les soirées soient aussi à l'image de notre public !




Infos pratiques
Tous les jeudis
23h - 5h 30
12, rue Frochot
75009 Paris
Tarifs préférentiels pour les résidents des 9e et 18e arrondissements !


mardi 3 mars 2015

New Tales From Electro #3 : Gagnez deux places pour la soirée anniversaire Mojo Party !

Fromparisathome est heureux de vous annoncer son partenariat avec le collectif parisien Mojo Party qui fêtera ses 1 ans le 14 mars prochain ! 
Pour cette occasion, ils vous ont concocté une soirée pleine de surprises et un voyage visuel et auditif dans l'incroyable galaxie nocturne. 


Mojo Party est un collectif rassemblant les jeunes talents de la scène House et Techno, ainsi que de nombreux artistes, peintres et sculpteurs, animés par la même passion de l'extravagance et de l'hors du commun. 
Les soirées organisées par le collectif reflètent bien cette volonté de différence, avec une programmation musicale recherchée et un travail sur la scénographie pour le plaisir de nos pupilles. 

Pour leur premier anniversaire, ils s'entourent de Pic Spector, 16K, Andres Komatsu pour la musique, et de Jed Voras pour le design du mystérieux vaisseau spatial. 
Et bien sûr, vous retrouverez toute l'équipe et de la Mojo Team !

Pour participer au concours, il vous suffit de : 
  1. Liker la page de Fromparisathome et de 
  2. Liker la page de Mojo Party 
  3. Rentrer votre adresse email dans le formulaire d'inscription *

XX Amelie 

* Nous précisons qu'aucune adresse mail ne sera communiquée à des fins commerciales, le formulaire étant confidentiel et utilisé uniquement dans le cadre de ce jeu-concours.

samedi 4 octobre 2014

New Tales from Electro #2 - Rencontre avec Thomas Delecroix

Le DJ français Thomas Delecroix fait parti de cette génération d'héritiers de la musique électronique faisant son entrée dans le monde artistique à partir de 2005-2006, à l'heure où la musique minimale bouscule tous les codes connus jusqu'alors. Après des études de Droit/Histoire de l'Art et Art Appliqués, Thomas se consacre à plein temps à sa passion, la musique. Rencontre avec l'artiste pour comprendre son parcours et ses inspirations.

Son bagage musical originel
Ayant grandi dans la banlieue parisienne, il marche dans les pas de son grand frère en ce qui concerne ses goûts musicaux. Ainsi, dès ses 10 ans, il est immergé dans le monde du Metal, Heavy Metal, avant de s'intéresser au reggae quelques temps plus tard. Avec une bonne oreille musicale et sa sensibilité rythmique, il jouera avec quelques amis dans un groupe de reggae. L'aboutissement de ces expériences musicales transparaît dans ses productions actuelles : une atmosphère soignée, plutôt sombre, brute, presque métallique ainsi que des variations rythmiques sophistiquées.

Sa première expérience électro
C'est lors d'un voyage familial à New York où Thomas pousse les portes d'un disquaire qui lui conseille un vinyle du label Cocoon. Il découvre alors la musique de Sven Vath. Quelques années plus tard, c'est à Berlin, au Berghain durant un set de Ben Klock, que Thomas a le déclic. C'est bel et bien l'univers de la techno, qu'il trouvait "apocalyptique", qui lui correspondait au mieux.





Son parcours de DJ
Comme tout Newbie, il commence à mixer dans  les bars parisiens. Cependant, ses compositions aux allures techno ne correspondaient pas trop à l'ambiance lounge et smooth d'un bar. Ainsi, il s'essaye à la House/Deep House, construisant son réseau, grimpant les échelons tout en se faisant un nom. C'est lorsqu'il intègre le collectif Newtrack qu'il va vraiment pouvoir exprimer son talent en proposant des DJ set techno à la Machine du Moulin Rouge, au Showcase, au Point Ephémère, Batofar, et d'autres scènes électro de la capitale.

Ses mentors et inspirations
Speedy J pour sa rythmique et Oscar Mulero pour le savoir-faire mélodique. Adepte incontestable de la culture underground, il cherche à créer à travers ses compositions, une atmosphère plutôt sombre dans laquelle on se sent bien, grâce à laquelle on voyage et on s'échappe du quotidien. Il avoue être un peu "sadique" lors de ses live dans le sens où il cherche à surprendre le plus possible l'auditeur, en ne lui donnant pas ce qu'il s'attend à entendre.

Sa soirée idéale
La soirée utopique - Fromparisathome
Thomas a été séduit par l'ambiance berlinoise et aimerait beaucoup mixer au Berghain, ou encore sur la scène du Rex Club à Paris. Le critère le plus important pour lui est avant tout une qualité sonore irréprochable. Il nous confie sa soirée utopique : un espace vaste, blanc, avec une scène située en plein milieu et un sound system pur, limpide, parfait pour pouvoir ressentir la moindre variation qu'il aura imposée. Dans ce même espace, on pourrait placer des polygones en volume, sur les faces desquels seraient projetées des scènes filmées de la soirée en cours de déroulement.

Ses prochaines dates et ses projets
Pleins de projets en tête, Thomas Delecroix fera un live lors du dernier apéro BpM de la saison qui se   tiendra le 7 octobre au Point Ephémère. Il travaille également sur de nouvelles compositions et sur son label, Rive Droite Records où il produit de jeunes talents tels que Sinus O ou Madlex.


XX Amelie 

samedi 13 septembre 2014

New Tales from Electro #1 - Paris capitale...

"Paris capitale électro", nous l'avons rêvé. Second Berlin en devenir, l'Eldorado des raveurs accueille en ce 13 septembre la Techno Parade dans ses rues historiques. Fromparisathome profite alors de ce jour pour lancer officiellement une chronique dédiée à la musique électronique.
Au programme tous les mois : des interviews d'artistes, des agendas sorties, des playlists et des décryptages d'un phénomène qui n'a pas de frontières.

Time Warp Festival
Tout d'abord, mettons nous d'accord. Lorsqu'on parle communément de musique électronique, on désigne un genre musicale qui n'utilise pas (ou vraiment très peu) les instruments traditionnels, y compris la voix. Ce genre apparaît dans les années 50 et connaît une grande popularité à partir de 1980. Aujourd'hui, l'électro est un terme vague qui regroupe de nombreux sous-genres très distincts, que vous découvrirez tout au fil de cette chronique.

 
Richie Hawtin @Peacock Society 2014
A présent, penchons-nous sur les phénomènes sociaux qui se sont développés autour de ce genre nouveau. On ne peut nier que la musique électro est tout de même assez controversée. Tout ce qui est un peu plus commercial trouve une place dans l'Ipod d'une majorité de la population, mais dès qu'il s'agit de sortir un peu du moule, les critiques se multiplient. C'est avant tout dû à l'innovation, à la nouveauté. Il est normal que lorsqu'on ne connaît pas, on reste distant et on se contente des préjugés. N'oublions pas non plus que tout phénomène nouveau peut faire peur aux premiers abord, surtout lorsqu'il s'agit d'une musique qui électrise des foules monstres de gens atypiques et originaux. On entend souvent dire "c'est juste du boum boum répétitif, comment pouvez-vous supporter ça?" ou encore " Aux soirées electro, il n'y a que des gens bizarres qui ne se parlent pas et qui sont dans leur monde". Certes, peut-être que les gens parlent moins, mais il faut prendre conscience d'un paradoxe surprenant : ce n'est pas parce que la conversation n'est pas au rendez-vous qu'il n'y a pas de partage et d'empathie entre les participants d'un évènement. La musique électro transcende toutes les générations et toutes les classe sociales pour créer une atmosphère uniforme où il y a une place pour chacun tel qu'il est. On y croise alors des marginaux, des avant-gardistes, des artistes, des intellectuels, des étudiants, et des monsieur et madame Toutlemonde qui refusent les stigmates de la société. L'univers formé autour de l'electro est mue par la seule liberté de chacun, sans aucun jugement.
Time Warp Festival

A présent, si on replace ce phénomène dans l'Histoire, on peut avancer que l'électro sera la musique qui aura marquée les années 2000. Disposant de moyens techniques de plus en plus sophistiqués, les DJs s'inspirent des sons du quotidien et les subliment derrière leur platines, créant avec de la matière connu, une alternative auditive tout à fait nouvelle, qui procure des sensations inattendues.
Alors que cette musique ultramoderne se déverse sur la foule à travers le Sound System, des artistes d'un autre type ne sont pas en reste, tel que le maestro du laser où le dernier artiste montant qui a imaginé la couverture de l'EP. La musique électronique et particulièrement, la techno et la minimale, absorbe une grande partie de la future élite artistique et culturelle de notre chère capitale.

Comme tout autre genre musical au moment de sa naissance, la musique électronique connaît ses critiques et ses controverses avant de trouver ses lettres d'or sur le tableau d'honneur de la culture générale populaire. Milieu nouveau et en construction, le monde de l'électro est pour le moment en marge mais gagne de plus en plus de terrain, pour marquer à jamais l'histoire de ce que nos futurs petits-enfants appelleront, "les années 10".


XX Amelie